La paix a peur. La paix est en danger.
La paix a été séquestrée. La paix a été prise en otage.
Une rançon doit être payée pour sa libération.
En échange de la paix, nous devons accepter de livrer l’article 37 par voie référendaire.
• Si nous refusons, l’otage pourrait être déplacé loin de nos cœurs, nos esprits et nos cités ; L’otage sera sans doute exécuté.
• Si nous acceptons de livrer l’article 37, c’est toute la constitution que nous livrons. Les ravisseurs vont sans doute la violer, la souiller, la profaner. Elle sera réduite en esclavage pour servir l’unique dessein de la dictature.
Nous voilà alors engagés dans une course contre la montre pour libérer l’otage. Nous voilà engagés dans une opération anti-terroriste contre des forces aussi obscures et maléfiques que Boko Haram.
• Option 1 :
« Les Evêques et Archevêques, au regard de la situation préoccupante, ont souhaité que nous priions pour la paix. A cet effet, une veillée de prière inaugurale a été organisée le jeudi 08 mai 2014, à la place de la nation.» http://www.lefaso.net/spip.php?article59052&rubrique386
• Option 2 :
Monter un groupe de commando de millions de citoyens et de citoyennes pour prendre d’assaut la forteresse où la paix est retenue en otage et réclamer sa libération sans condition.
• Option 3 :
Nous acceptons le référendum. Nous livrons l’article 37. Dans ce cas, nous ne sommes même pas sûrs que les kidnappeurs acceptent de libérer et de nous rendre la paix.
La paix a été séquestrée. La paix a été prise en otage.
Une rançon doit être payée pour sa libération.
En échange de la paix, nous devons accepter de livrer l’article 37 par voie référendaire.
• Si nous refusons, l’otage pourrait être déplacé loin de nos cœurs, nos esprits et nos cités ; L’otage sera sans doute exécuté.
• Si nous acceptons de livrer l’article 37, c’est toute la constitution que nous livrons. Les ravisseurs vont sans doute la violer, la souiller, la profaner. Elle sera réduite en esclavage pour servir l’unique dessein de la dictature.
Nous voilà alors engagés dans une course contre la montre pour libérer l’otage. Nous voilà engagés dans une opération anti-terroriste contre des forces aussi obscures et maléfiques que Boko Haram.
• Option 1 :
« Les Evêques et Archevêques, au regard de la situation préoccupante, ont souhaité que nous priions pour la paix. A cet effet, une veillée de prière inaugurale a été organisée le jeudi 08 mai 2014, à la place de la nation.» http://www.lefaso.net/spip.php?article59052&rubrique386
• Option 2 :
Monter un groupe de commando de millions de citoyens et de citoyennes pour prendre d’assaut la forteresse où la paix est retenue en otage et réclamer sa libération sans condition.
• Option 3 :
Nous acceptons le référendum. Nous livrons l’article 37. Dans ce cas, nous ne sommes même pas sûrs que les kidnappeurs acceptent de libérer et de nous rendre la paix.
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