Le bimensuel Le Reporter dans sa livraison N° 189 du 1er au 14 mai 2016 nous révèle que le 28 avril 2016, lorsque la cour de cassation a annulé tous les mandats dans le cadre de l'instruction du dossier relatif au coup d'Etat du 16 septembre 2015, cela s'est fait dans le cadre d'un tripatouillage extravagant.
La cour de cassation avait clairement rejeté la requête du commissaire du gouvernement demandant l'annulation des mandats.
Les journalistes de Le Reporter se sont rendus à la cour de cassation
pour mieux comprendre. Le plumitif consulté au niveau de la greffière de
la chambre criminelle a été falsifié. Une feuille de papier a été
découpée et collée sur un premier écrit. Questionnée par les
journalistes, la greffière reconnait s'être trompée en écrivant et elle a
repris son écrit sur autre feuille qu'elle a collé par dessus.
Peut-on se permettre telle surcharge dans le plumitif d'un tribunal, s'interrogent alors les journalistes?
Le procureur général, lui tiendra un tout autre discours en affirmant que c'est plutôt le juge qui s'est trompé lors de la lecture du délibéré à l'audience et a lu une mauvaise décision qui ne serait pas celle que les membres du tribunal auraient arrêté de commun accord. C'est ainsi que, se rendant compte de l'erreur, ils seraient revenus dessus pour la corriger.
Comment est-ce possible, s'interrogent encore les journalistes, comment un juge peut-il se tromper à ce point?
Pourquoi les versions de la greffière et du procureur général ne coïncident pas ?
L'article conclu en écrivant que de sérieuses suspicions de corruption planent sur certains membres du tribunal.
De toutes façons, les faits sont suffisamment graves pour que le directeur de la justice militaire ouvre immédiatement une enquête pour situer les responsabilités.
Tout se passe comme s'il y a une volonté manifeste concertée de lever ces mandats à tout prix et de ne pas rendre justice.
Certains sont apparemment prêts à toutes les manœuvres même celles qui relèvent de la prestidigitation.
Maintenant si les journalistes ont inventé tout ça et que la justice ne les poursuit pas et se contente de démentir cela viendrait corroborer totalement le contenu de l'article.
Soutenez le journalisme d'investigation, achetez le journal pour lire la totalité de l'article.
https://www.facebook.com/photo.php?fbid=10209123259868716&set=a.4460582362765.181079.1535855658&type=3&theater
Peut-on se permettre telle surcharge dans le plumitif d'un tribunal, s'interrogent alors les journalistes?
Le procureur général, lui tiendra un tout autre discours en affirmant que c'est plutôt le juge qui s'est trompé lors de la lecture du délibéré à l'audience et a lu une mauvaise décision qui ne serait pas celle que les membres du tribunal auraient arrêté de commun accord. C'est ainsi que, se rendant compte de l'erreur, ils seraient revenus dessus pour la corriger.
Comment est-ce possible, s'interrogent encore les journalistes, comment un juge peut-il se tromper à ce point?
Pourquoi les versions de la greffière et du procureur général ne coïncident pas ?
L'article conclu en écrivant que de sérieuses suspicions de corruption planent sur certains membres du tribunal.
De toutes façons, les faits sont suffisamment graves pour que le directeur de la justice militaire ouvre immédiatement une enquête pour situer les responsabilités.
Tout se passe comme s'il y a une volonté manifeste concertée de lever ces mandats à tout prix et de ne pas rendre justice.
Certains sont apparemment prêts à toutes les manœuvres même celles qui relèvent de la prestidigitation.
Maintenant si les journalistes ont inventé tout ça et que la justice ne les poursuit pas et se contente de démentir cela viendrait corroborer totalement le contenu de l'article.
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